Art contemporain, art brut, art textile… art d’aujourd’hui… expositions et artistes. Art city guide principalement à Paris. L’art est multiple -Panorama non exhaustif – un certain regard
Cette fois encore la Fondation Cartier fait mouche. Une très belle exposition « Beauté Congo » – » Congo Kitoko ». sur l’art de la République Démocratique du Congo y est présentée au travers une quarantaine d’artistes sur la période de 1926 à nos jours. « Kitoko » veut dire « c’est beau! ».
« Congo Kitoko » c’est
– une peinture inclassable, » populaire » propre à ce pays, à sa vitalité, son caractère expressif et débridé, des toiles respirant bonheur et joie avec des personnages haut en couleur, où politique et vie quotidienne sont mêlées, des tableaux qui sont comme des fables, des rêves et empreints d’humour.
– des photos qui témoignent de l’ambiance des périodes traversées,
– des sculptures utopiques hautes en couleurs et matériaux divers principalement de récupération,
– le tout est accompagné d’un parcours musical « rumba »d’une grande richesse, musique congolaise urbaine dansante diffusée de manière confidentielles, les morceaux » ne pouvant être entendu par les amateurs contemplant les œuvres. Ayant beaucoup apprécié l’exposition, j’aurai aimé qu’une salle permette la rencontre entre la musique et les peintures favorisant une déambulation rythmique à l’image des moments vivants peints …
Je salue le café Kitoko – halte fort sympathique qui permet de profiter du bel espace extérieur et du jardin tout en restant dans la magie colorée de l’expo!
Pour tout savoir ou presque!
De nombreux articles sur l’expo ont été faits. En voici quelques uns.
Fondation Cartier « Présentation expo » avec de nombreux interviews des artistes et du curateur André Magnin.
Vous trouverez ci-après les photos des artistes qui m’ont vraiment fait apprécier cette exposition.
Compte tenu de son succès, elle vient d’être prolongée jusqu’au 10 janvier 2016. MERCI!
C’est une exposition dont on sort avec le sourire et l’envie de bouger… tout public…. Allez y!!! C’est jusqu’au 10 janvier 2016.
Steve BandomaSammy-BalojiRigobert-NimiPilipi-MoulongoyMode-MuntuMika-2MikaMikaLubaki-Lubaki-Kura-ShomaliIsek-KingelezDjilatendoCheri-Samba-la-vraie-carte-du-mondeCheri-SambaCheri-Cherin-Cheri-Cherin-Cheik-LebyArt-BodoAmbroise-Ngaimoko
Les expositions
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 20h
Nocturne le mardi jusqu’à 22h.
Du mardi au vendredi, à 18h, visite guidée de l’exposition avec le billet d’entrée. Dans la limite des places disponibles. Fermeture de la billetterie 30 minutes avant.
Fermeture le lundi.
Fermeture les 25 décembre et 1er janvier.
Merci de me faire part de vos commentaires si vous y allez! Cela me replongera dans ce bon moment et je vous répondrai…
En cette période de rentrée se succèdent de nombreux grands salons et temps forts de la « Mode ». Bijorhca, Fashion week, Maison et Objets…
J’y suis allée cette fois dans l’idée de vous rapporter quelques noms de créateurs qui m’auront séduite !
Bijorhca – c’est quoi?
Bijorhca, c’est un salon professionnel international bi-annuel sur le thème du bijou (créations et matériels des perles à l’outillage).
Il regroupe plus de 500 créateurs de bijoux fantaisie, précieux et montres dont la moitié appartient à la scène internationale.
Il favorise l’émergence de nouveaux talents et jeunes créateurs. Un espace leur est dédié » Cream ».
C’est là que j’ai y trouvé mes pépites!
Le choix fut difficile!
Atelier Godolé; une famille française qui renoue avec le crochet de fil et l’adapte à sa manière au bijou. Un travail d’une grande finesse. Le tout réalisé en atelier à Paris!
Atelier-GodoleAtelier-Godole
Tambour Paris; présentation d’une collection bijoux laine, fil et métal inspirée des traditions et artisanat de Mongolie. « Mongolie mon amour » , des bijoux parures, haut en couleur, légers et fantaisistes.
Tambour ParisTambour Paris
Kikamishto ; des bijoux plein d’humour, issu d’un univers artistique plein de vie. Des bijoux, boucles d’oreilles asymétriques qui racontent des histoires.
KikamishtoKikamishto
Ida Callegaro et sa collection life therapy, une bonne dose d’humour à porter sous forme de gélules ou de petites pilules .
Ida-Callegaro
J’ai aussi craqué hors de l’espace Cream pour Kiyoko Hosoda des bijoux d’une grande finesse, une gamme poétique et légère – un esprit japonais allié au design italien!
Diriez-vous street art ! Land art ! Beach art ! Pourquoi pas Blockhaus art?
Street art , une appellation qui pourrait aller si les supports béton – objet des graffs et des tags étaient situés dans des zones urbaines!
Nous sommes sur la Côte Atlantique, elle regorge de trésors.
Ses plages en font partie. Immenses espaces de liberté, elles vous permettent de vous promener des heures durant et pendant des kilomètres et des kilomètres que seuls des estuaires ou les marées interrompent.
C’est aussi le lieu d’un art éphémère – celui des graffitis sur les blockhaus.
La seconde guerre mondiale et les allemands ont déversé leur lot de blockhaus sur cette cote.
Chaque année de nouveaux graffeurs laissent leur trace sur ces murs de bétons.
Cela donne des plages colorées ou la liberté d’expression est visible et à portée de tous.
Les photos présentées ont été réalisées au Gurp – Commune de Grayan et l’Hôpital. Un lieu familial, jeune et sportif – le spot de la région pour le surf et multiculturel – les allemands en raffolent! Les Chris et Chrismali aussi!
La couleur inspire de nouveaux Chris, des bijoux!
Des bijoux légers, sans prétention, un brin nature et très colorés! Vous pourrez les découvrir en fin d’article et sur la boutique Chrismali chez Alittlemarket
Blockhaus artBlockhaus artBlockhaus artBlockhaus artBlockhaus artBlockhaus artBlockhaus artBlockhaus artBlockhaus artBlockhaus artBlockhaus art trouvé sur le net
Peu connue en France, l’artiste joaillière japonaise Nobuko Ishikawa est exposée en France . Le partenariat entre la ville d’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) et la ville d’Ichikawa, près de Tokyo a contribué à cette exposition. C’est la première grande rétrospective consacrée à Nobuko Ishikawa (1943-2012), celle-ci rend hommage à sa créativité et son talent.
Grande voyageuse trouvant l’inspiration dans ses voyages, son art est une invitation au voyage..
Ishikawa s’était lancée dans la haute joaillerie à une époque où les japonais n’en portaient pas vraiment. La haute joaillerie japonaise a ses propres spécificités ; finesse du travail, ajout de laque, l’association du cuivre et de l’or.
Nobuko Ishikawa a fait des études d’histoires de l’art , son univers s’appuie sur l’histoire et la culture des pays dans lesquels l’artiste a vécu et voyagé; le Japon mais également, la France avec ses châteaux renaissance, le Mont Saint-Michel, l’Italie avec Venise…
Certains de ces bijoux sont des tableaux miniatures.
Nobuko Ishikawa a réalisé de nombreux bijoux sur les thèmes du mythe de la création, les mythes grecs ou encore en s’inspirant de Christophe Colomb. Des thèmes facilement compréhensibles par des détails minutieusement dessinés. La créatrice s’était également inspirée de la culture de son propre pays, à travers la réalisation d’une collection de bijoux sur le thème du « Dit de Genji ».
Décédée en 2012, sa joaillerie existe toujours sous la direction de sa sœur, Yoshie Ishikawa. Son atelier au Japon installé à Ichikawa compte une quinzaine d’artisans qui perpétuent le travail initié et transmis par la créatrice.
Un univers onirique accompagnés de matériaux de haute qualité côtoyant des éléments textiles, du cuivre, des pierres taillées et des pierres brutes ainsi que de Multiples techniques et compétences sont les caractéristiques des pièces de la Maison Nobuko Ishikawa.
La broche bleue Mont Saint Michel a demandé pas moins de 550 h de travail.
A l’occasion de cette exposition des ateliers gratuits de création de bijoux avec des artisans-joailliers de la maison Ishikawa sont proposés.
Artisan-Ishikawa
Cette très belle exposition m’a donné envie de réaliser des pièces plus précieuses et de continuer à faire cohabiter les matérieux – le brut et et précieux, le textile et l’argent.
La très belle exposition du Musée du Quai Branly aborde la présentation des œuvres africaines au niveau de son origine non pas seulement géographique, ethnie et région, mais également en fonction de son auteur. Elle met l’accent sur l’artiste ou l’atelier qui a travaillé les sculptures. 330 pièces et chefs d’oeuvres sont présentés.
Elle s’efforce de nous rendre compte du statut de l’artiste qui a crée ses pièces, son positionnement social, sa liberté d’expression et ses activités dans leur ensemble.
Ce questionnement et cette approche sont novatrices et le fruit de longues recherches menées en Côte d’Ivoire. Il n’en reste pas moins que des recherches similaires pourrait être menées au Mali , Cameroun , Bénin et dans l’ensemble des pays, t de l’art primitif.
Longtemps considéré comme un artisan au service des traditions, l »artiste bénéficiait en Côte d’Ivoire d’un statut particulier et sa renommée pouvait traverser plusieurs générations.
Dans cette exposition, la patte de l’artiste, individualité sont mis en avant.
L’art de la sculpture est rattaché en Cote d’Ivoire à 6 populations. L’exposition nous les présente en s’attachant à nous faire découvrir les différences majeures de représentation liées au éthnies ainsi que celle propres aux créateurs et artistes des pièces.
Tout d’abord le contexte
Pays riche
La Côte d’Ivoire, a une superficie représentant la moitié de la France, une grande surface côtière ouverte sur l’océan Atlantique et le golfe de Guinée. Pays doté de plateaux, plaine et savanes, cours d’eaux abondants, c’est un pays d’Afrique riche en ressources naturelles.
Anciennement nommée la République du cacao et renommé également pour son café, ses ressources actuelles sont l’agriculture l’élevage, l’extraction minière et l’exploitation pétrolière.
Il est à noté qu’une des principales ressources naturelles de la Côte d’Ivoire est le bois, le pays en exporte plus que le Brésil. Le rythme de la déforestation est très important et risque de poser à court terme des problèmes écologiques et d’équilibre des ressources.
Pays multiethnique
La Cote d’Ivoire est une terre de migration. Sa population ivoirienne est en outre multiethnique. Cinq grands groupes ethniques, comprenant environ une soixantaine d’ethnies, constituent les nationaux d’origine et sont localisés dans les régions suivantes :
au nord, le groupe voltaïque (gur) ou sénoufos, 13 % de la population ;
au nord-ouest, le groupe mandé du Nord ou malinké, 17,2 % de la population ;
à l’ouest, le groupe mandé du Sud, 8,4 % ;
au sud-ouest et au centre-ouest, le groupe krous, 9,4 % de la population
au centre et à l’est, le groupe akans, 41,1 % de la population.
L’exposition, les oeuvres des ethnies et artistes
Les Dan
Un peuple qui privilégie l’excellence, une représentation en volume- charnue, ovoïde, yeux effilés pour ces masques avec des artistes parfois caractérisent leurs pièces (nez triangulaires).Tame qui signifie le voyageur – vers 1900-1960 est un des plus reconnu avec Sra dont la femme et la maternité symbolisant l’idéal féminin des Dan fut présentée à l’exposition universelle de 1931.
TAME—DANDANDAN
Le peuple des Lagunes
Ses oeuvres, personnages principalement féminins, bien campés sur leurs jambes musclés aux membres stylisés, visages et coiffes travaillés ont pour artistes reconnus des maîtres qui avaient chacun leur particularité visuelle; le maître des jolis seins, le maître des mains géantes, le maître des couronnes… Les femmes, fait rare peuvent également être sculpteur.
On peut admirer le travail du maître ivoirier , expert en ciselure d’ivoire qui s’inspira des fonctionnaires britanniques à chapeaux.
Leur nom signifie l’enfant est mort. L’art des Baoulé entretient le souvenir et la commémoration. Les statuettes sont investies de pouvoirs thérapeutiques. Le maître sculpteur est celui qui voit au delà des apparences. Les sculpteurs étaient également paysans. 7 maîtres ont été identifiés sans nom associé si ce n’est celui de leur collectionneur occidental, mieux village!
le maître de Totokro – village, oeuvres à la coiffure asymétrique et à la moue dédaigneuse
Le maître de « Kamer « Charles Ratton- collectionneur français
Le maître d’Ascher ( marchand allemand )aux figurines délicates en bois clair et chignon ciselé
BAOULEbaoule
Les Gouro
Le beau, la ligne la courbes sont des caractéristiques évidentes. Les masques gouro étaient utilisés pour le divertissement et les manifestations dans les villages, ils sont à l’origine de nombreuses performances. Des films sont présentés.
Les magnifiques petites pièces; étriers de poulies du maître de Bouaflé et les masques colorés de Sabu bi Boti sont des pièces remarquables destinées à éblouir.
GOUROGOUROGOUROGOURO
Les Lobi
Autrefois farouches guerriers, on en retrouve des signes évidents dans la posture offensive et la force ou la grandeur de leurs sculptures. Les Lobi ne connaissent pas l’usage du masque et ont développé des têtes piquets.
LOBI
Les Senoufo
Occupant un vaste territoire, la place de la monture est visible. Chez les Senoufo, la création est collective et pratiquée en ateliers, les sculpteurs sont au service de la société initiatique du Poro, c’est elle qui réglait la vie des membres dès 7 ans et assurait la cohésion du groupe.
SENOUFOSENOUFO
A travers cet article, vous vous en douterez, j’aime l’art africain et ce depuis fort longtemps, il s’en est fallu de peu que mon espace ne soit envahi par toutes les pièces chargées d’histoires rencontrées.
Il est clair que l’attrait des techniques mixtes, le caractère brut de nombreuses œuvres font échos dans ce que je fais – me corresponde ou m’influence. C’est un fait!
Je me suis intéressée d’abord à la femme, elle dégage une force de vie et une joie communicante. Puis j’ai découvert son travail et l’ai aimé.
Elle s’intéresse à l’humain, au vrai, à la différence, des points qui nous rassemblent.
J’ai eu envie de vous la faire découvrir.
Ybah est la contraction de son prénom et de son nom. Y pour Yvette.
Ybah sonne bien, un brin mystérieux et proche de la terre.
Il est vrai qu’elle sculpte la terre, l’argile et fait ensuite des bronzes, des résines.
Elle est sculpteur de moments d’intimité , elle choisit la vie, la complicité, le vrai de chacun, c’est flagrant dans la scène du hammam.
Elle capte l’âme de ses modèles et nous fait porter attention aux inclinaisons des visages, aux marques du temps jouent sur les corps, aux rondeurs qui expriment la vie et ne cache rien. Elle dévoile la personnalité par petites touches. Elle crée des moments d’intimité avec ses modèles qu’elle nous offre.
Elle vit entre Paris et le Perche ou elle travaille dans son atelier.
Elle a toujours été proche de l’intime des femmes et de leurs corps travaillant avec des femmes rondes et les guidant pour affirmer leur féminité.
J’ai envie de vous faire découvrir le Cercle des Artistes de Paris, une association qui organise depuis 13 ans son exposition. C’est ma deuxième participation et j’ai pu percevoir ainsi l’âme de ce salon ou règne complicité et bonne humeur. Le choix des oeuvre est éclectiques – « pour tout les goûts » comme dirait Emannuel Risser, son directeur artistique. Vous serez conquis par les rencontres avec les artistes, certaines créations et la magie du lieu.
La petite histoire
Voilà 13 ans qu’ a été créée l’association dans le but de réunir dans un cadre somptueux, le Parc Floral de Paris, des artistes de tous les horizons artistiques.
Le but est de promouvoir l’art et de présenter à un large public, un panel éclectique de la création artistique. Le Parc Floral Parc Floral de Paris s’est imposé comme un endroit idéal, compte-tenu de sa fréquentation et de ses activités touchant des personnes de tout âge n’ayant pas forcément accès à l’Art.
Voici un extrait du prologue de la présidente Annick Febvre qui trduit bien les motivations et état d’esprit de cette manifestation et des précédentes.
« Cette exposition….un institution tant elle recueille de visiteurs et d’admirateurs…nous avons souvent le plaisir de revoir des familles qui reviennent avec leurs enfants.
Nous tenons beaucoup à notre image de « manifestation populaire » ou chacun peut se projeter dans son propre imaginaire à travers les œuvres et trouver en un instant sa part de rêves.Beaucoup d’enfants et de parents sont heureux de venir à la rencontre des artistes présents et se découvrent souvent des sensibilités communes. Cette exposition est avant tout un lieu d’échanges, échanges entre les artistes, échanges avec nos visisteurs et sa richesse réside essentiellement dans cet idéal de culture… »
La structure est minimaliste, elle repose essentiellement sur un petit groupe d’artistes conquis par le côté « familial » de l’association et qui n’hésite pas à aider bénévolement et amicalement.
Le salon 2015
Depuis 2002 , c’est environ une centaine d’artistes peintres, graveurs, sculpteurs et photographes qui exposent chaque année dans le cadre idyllique du parc Floral et du pavillon 18.
Certains artistes sont des habitués et pour d’autres, cela peut être leur première exposition. Le choix des artistes repose sur la sélection du jury composé d’une dizaine de membres.
Je ne pouvais vous présenter tous les talents de cette édition.
J’ai capturé certaines oeuvres, rencontré certains artistes , voici donc en image une promenade au pavillon nymphéa. Seulement une trentaine des artistes sont présentés dans les photos. Venez vous aussi découvrir et nous faire part de votre ressenti. Un livre d’or est à votre disposition et le catalogue de l’exposition – livret avec une photo d’une oeuvre de chaque artiste ainsi que ces coordonnées vous sera offert si vous le voulez bien.
Mes coups de cœur vont à Monika Andren pour son abstrait mouvant , sa belle palette et sa transparence, François Agate pour ses sculptures pierre et verre, silhouette que l’on a envie de toucher, Ybah pour sa sculpture classique dans des situations de tous les jours empreintes d’émotion, Kapheine pour ses paysages collage, papier, fil, textile qui vont dans le sens de mes recherches actuelles et dont j’ai aimé la composition et la palette, Chantal Hemery pour ses femmes aux formes inventées et ses magnifiques patines, Josée Ricard pour son excellente mosaïque « petite culotte », RAF pour son tableau de signalisation avec ses petites voitures et le trésor caché, et Anne-Marie Boudet pour ses photos et sa série évanescence en noir et blanc qui sait suggérer l’invisible.
J’y expose « mes petits mondes » , sculptures miniatures dans une jolie vitrine adossée à la magnifique bambouseraie du parc. Pour les découvrir c’est ici.
Je vous souhaite une belle visite! Prenez votre temps, revenez!
C’est jusqu’au 14 juin.L’exposition est gratuite et le parc floral est libre d’accès en mai et juin – payant pour les journées « concert jazz » de juin ( en général le dimanche). Voir adresse en fin d’article.
Le salon de Montrouge 2015 – une très belle année, un grand crû!
J’ai beaucoup aimé le choix des artistes de cette année, la cohérence qu’il s’en dégage, le bon équilibre entre tous les médias présentés; beaucoup de vidéos, des mixtes médias au sein d’installations ou d’œuvres uniques,pas de vidéos longues. Le parcours est très agréable, on déambule et on découvre au détour des « allées », les oeuvres . Continuer la lecture de Le salon de Montrouge – lieu d’émergence de nouveaux talents fête ses 60 printemps