Ma deuxième exposition personnelle s’est déroulée à la galerie Espace Le Marais, petite galerie bleue située à la croisée de grands chemins, Musée Picasso, Musée Cognac Jay, Institut Finlandais, Le square Parc Royal.
L’exposition- Faire son temps- Christian Boltanski
Le centre Pompidou présente une cinquantaine d’œuvres de Christian Boltanski. L’exposition conçue par Boltanski se présente comme une déambulation au travers ses nombreuses installations. L »exposition se nomme « faire son temps » il est ici question de temps. L’exposition nous accueille avec son panneau départ et nous laisse avec le panneau arrivée.
Toulouse-Lautrec est un peintre, dessinateur, lithographe, caricaturiste ,affichiste et illustrateur français.
Il est le peintre de la vitalité et de l’humanité. Il s’est attaché à montrer le réel dans toute sa force avec des techniques picturales allant à l’essentiel.
Encore une belle réussite du Palais de Tokyo qui nous plonge dans l’énergie créative, bouillonnante voir violente de 5 mégalopoles DACCA, LAGOS, MANILLE, MEXICO et TÉHÉRAN.
Grayson Perry, artiste anglais, performer, engagé et populaire présente à l’Hôtel de la Monnaie » vanité, l’identité et sexualité »
J’ai adoré cette exposition. Un artiste vivant populaire qui dit des choses, travaille dans de nombreuses directions, fait le show et est reconnu pour son travail, ses positions, son auto-dérision.
Peu connu en France, une célébrité en Angleterre, Il expose pour la première fois à Paris . C’est à l’hôtel de La Monnaie (jusqu’au 3 février 2019).
Il s’exprime à travers la céramique, le métal, la gravure, la tapisserie de grand format et ses performances, show qu’il réalise pour ses expositions et autres manifestations.
Ses œuvres questionnent sur des sujets universels tels que l’identité, le masculin et le féminin, la classe sociale, la religion et le sexe. Elles fourmillement d’informations.
La surface de ses vases, classiques dans leur forme, révèle un monde bouillonnant où se mêlent références historiques et contemporaines.
il dit : « Mon travail et de noter des choses ce que les autres ne notent pas et d’amener ces choses dans la clarté de la conscience. Mon ambition est d’accroître l’intérêt des gens pour l’art sans abâtardir partir celui-ci ».
C’est un artiste qui travaille seul, sans une petite ou moyenne entreprise avec lui comme c’est le cas de nombreux artistes contemporains connus.
C’est également un travesti.
» Il s’habille en femme parce qu’il aime ça. Il le fait depuis qu’il a commencé, à douze ans, à emprunter les robes de sa sœur. Même si ça lui pose quelques problèmes, dit-il, pour arriver à ce qu’on le prenne au sérieux en tant qu’artiste. Encore que, ça aussi ça le réjouit. Et « c’est très bon pour la pub », s’esclaffe-t-il.
C’est donc en Claire, son alter ego féminin, qu’il a présenté à la presse son exposition à la Monnaie de Paris. Il s’agit de la première grande exposition à Paris d’un artiste célèbre au Royaume Uni, où il a reçu le Turner Prize pour ses céramiques en 2003 et où il a fait des séries d’émissions télé abordant tous les thèmes qui lui sont chers, l’identité, la masculinité, la sexualité, le (bon et mauvais) goût, les classes sociales.
C’est plein d’humour (anglais) et d’auto-dérision qu’il aborde ces thèmes des plus sérieux. Et, étrangement, malgré le kitsch de son accoutrement, on l’oublie très vite tant l’ensemble paraît du plus grand naturel. Il passe son temps à égratigner les bourgeois, intellectuels bien-pensants (de gauche), le milieu de l’art, catégories dans lesquelles il s’inclut bien sûr. C’est un grand showman, d’ailleurs il dit en riant que son nouveau projet, c’est de faire du stand up. » Extrait de l’article culture Box du 18/12/2018
Homme aux multiples identités, il est également le recteur de la prestigieuse Université des Arts de Londres « UAL » qui inclue les écoles de modes « Central Saint Martins et « London College of Fashion »
Paula Rego est une artiste plasticienne portugaise née à Lisbonne en 1935.
En 1958 elle reçoit une bourse de la Fondation Gulbenkian qui lui permet de vivre à Londres, elle est alors la seule femme à faire partie du groupe de l’école de Londres où elle côtoie Francis Bacon ,Lucien Freud et David Hockney.
En 1990 elle devient artiste associée à la National Gallery de Londres. En France, elle tarde à être connue, ses créations sont présentés en 2008 à Nîmes puis en 2012 à Paris et en 2018 au musée de l’ Orangerie.
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Elle aime les dessinateurs comme Daumier Granville Benjamin Rabier, elle reprend les ouvrages classiques de la littérature enfantine notamment ceux de la Comtesse de Ségur et elle réalise des illustrations, de comptines britanniques pour enfant très populaire elle réalise une série de gravure à l’eau forte et aquatinte qui fait ressortir la cruauté et la perversion souvent sous-jacente dans les contes pour enfants ainsi qu’une forme de fantastique poétique.
Elle s’inspire également des œuvres d’Odilon Redon, Francisco de Goya ,
L’art de Paula rego a été décrit en 2018 par Philippe Dagen critique d’art et romancier français publiant dans le journal le Monde comme » profondément scandaleux chargé de sous-entendus sexuels irrespectueux de tout d’essence crûment satiriques est susceptible de susciter dans l’esprit du spectateur de très mauvais rêves ».
Noël d’Artistes à la Galerie de l’Angle du jeudi 20 au dimanche 23 décembre.
De quoi parfaire, finaliser vos cadeaux de Noël ou tout simplement promenade artistique dans un bien joli quartier.
L’opportunité s’est présentée d’organiser une vente d’oeuvres d ‘artiste et nous l’avons saisie.
Nous, ce sont 6 artistes, photographe, céramiste, peintre , sculpteur, plasticien et créateur de bijoux.
et nous vous proposons une sélection d’œuvres originales, uniques;
des tableaux, sculptures, photographies, bijoux, céramiques et mosaïques – de nombreux petits formats…. faciles à emporter, pour le plaisir d’offrir tout en encourageant la création et les artistes.
Les aquarelles de Sandrine Vella sont lumineuses et aériennes. C’est un hymne à la nature !
Les sculptures vélo de Nathalie Thillay , pleines de drôleries ravissent petits et grands.
Les photos de Dominique Baliko tout en ligne et courbe vous content Paris, la vie, la Seine.
Les céramiques raku de Annie M racontent la terre et ses couleurs chaudes et naturelles.
Les mosaïques « impressionnistes » de Pascal Levaillant évoquent la Seine et la lumière du fleuve.
Chez Chrismali, le ticket de métro, support de création de tableaux, sculptures et bijoux s’efface au profit des histoires mises en scène et qui vous parlent d’hommes et de nature.
C’est à la Galerie de l’Angle proche des métros Bastille, Bréguet Sabin , Chemin Vert, et nous serons ravis de vous y accueillir.
« Autour du Japon » est la nouvelle exposition présentée par Hélène Aziza.
« Hélène AZIZA accueille chez elle, au 19 rue Paul Fort, des créateurs et leurs créations, au gré des occasions, au fil des rencontres.
Lieu sans modèle connu –sinon « les salons » privés où se rencontraient sous le sceau de l’amitié artistes et amateurs – le 19 Paul Fort est avant tout une maison ; chaque événement – exposition, concert, lecture, présentation… est une rencontre qui y trouve une forme inédite à la fois chaleureuse et exceptionnelle. »
(J.P ROBERT)
Elle reçoit jusqu’au 16 décembre des artistes contemporains japonais ou travaillant en lien avec le Japon; Philippe BARDE & Toshio MATSUI, POLYHEDRE (Vincent JOUSSEAUME-Batiste YMONET), Jacques KAUFMANN & Koho WADA, Jacqueline SALMON & Misuzu KANEKO, Betty de Paris
Pour ce septième opus de « Autour du Japon », j’ai eu le plaisir de découvrir ou revoir
Le talentueux céramiste Jacques Kofman avec ces pièces céramiques feuilletées évoquant des roches ayant subies torsions et déchirures.
L »artiste Koho Wada, maître en art floral qui met en scène la végétation, travaillant tout particulièrement le très petit. Il joue avec les céramiques de Jacques Kofman et met en scène ses végétaux.
Betty de Paris, artiste plasticienne renommée pour son expertise en teinture indigo, expose et installe ses pièces indigo. Elle présente des dessins à l’indigo, des tissus tentures, installation textile, vêtement et furoshiki.
Jacqueline SALMON , photographe, présente ses scènes de vie japonaises, images inspirées des poèmes de Misuzu KANEKO qui accompagnent cette exposition.
« Rêve et réalité »
Si le rêve était réalité et la réalité rêve
Ce serait merveilleux, non ?
Puisque dans le rêve rien n’est jamais fixé
Tout serait merveilleux, non ?
Après le jour ne viendrai pas à la nuit
Et- qui sait? – moi qui ne suis pas une reine…
La lune, on pourrait l’attraper
On pourrait peut-être même entrer dans le cœur d’un lys
Les aiguilles de l’horloge tourneraient dans l’autre sens
Les morts serai toujours là
Vraiment si rien n’était jamais fixé
Ce serait merveilleux
Voir de temps en temps la vérité en rêve
Ce serait merveilleux