Je participe pour la première fois au Salon d’Automne qui est de retour sur les Champs-Élysées pour sa 121 ème édition.
Plasticienne, artiste, singulière, exploratrice touche-à-tout. je mélange, je compose. J’interroge le vivre ensemble et le vivant connu et inconnu.
Invitée à rejoindre la section « Mythes et Singularité », je présente un diptyque « Dans les bois cachés, la vie quoi! » Ce sont 2 deux tableaux fonctionnant ensemble ou seul, réalisés avec des tickets de métro, aquarelle et collage dont je vous dévoile ci-après deux extraits. Le groupe « Mythes et Singularité » se trouve vers le milieu du salon entre les espaces 47 à 56.
Chrismali – Histoire de l’œuvre du salon d’Automne
Dans les bois, cachée, la vie quoi! – Diptyque 117.5 * 53 cm ( 66*45.5 cm et 51.5*53 cm)
Je mets beaucoup de choses dans mes tableaux; perpétuelles interrogations, dénonciations, drôleries, espérances.
Ce diptyque est un hymne à la vie, à la cohabitation du grand « tout »; le vivant et l’inerte.
Dans les bois
Dans les bois, cachées, enchevêtrées,
d »autres vies existent.
Au plus profond,
végétal, animal se confondent.
Symbiose du vivant et du mort,
la cohabitation règne.
Chrismali
La vie, quoi!
Mutants cohabitants, un même univers, à différents moments de l’espace temps. Et si c’était vrai maintenant, où seriez-vous?
Chrismali
Adepte des mélanges tant techniques que médias, je travaille avec le ticket de métro depuis 10 ans . J’aime la symbolique de l’urbain et du bien collectif que ce petit bout de carton double face représente tout en appréciant la multiplicité de ses signes, lignes, caractères, couleurs.
2024 est une belle année pour Chrismali. J’ai eu l’occasion de présenter mon travail dans divers lieux: mairie du 20e en duo avec Sigrine Genest , la galerie éphémère de Montreuil en duo avec Annie Luton, des expositions collectives dont Artcité, maintenant le salon d’Automne. Et ce n’est pas fini, d’autres surprises arrivent.
Salon d’Automne PAVILLONS ÉPHÉMÈRES Du 23 au 27 octobre 2024 Pl. Georges Clémenceau, 75008 – M° Champs-Élysées – Clémenceau Tous les jours 11h-20h, dimanche 11h-18h Tarif : 15 € – Tarif réduit 7 euros: Gratuit pour les – de 12 ans,étudiant en art, demandeurs d’emploi, Ministère de la culture, presse, MDPH (+ 1 accompagnant)
Ticket d’entrée : Plein tarif : 15€
Des tarifs réduits sont disponibles en caisse, sur présentation d’un justificatif. Tarif réduit : 7€ (de 12 à 26 ans, étudiants, carte famille nombreuse). Entrée gratuite : moins de 12 ans, étudiant en art, demandeurs d’emploi, Ministère de la culture, presse, MDPH (+ 1 accompagnant)
Rappel
Je profite de ce mail pour vous rappeler que l’exposition Artcité à laquelle je participe à Fontenay-sous-Bois sur le site de la médiathèque Louis Aragon est toujours en cours et s’achèvera le 19 octobre. J’y expose des tableaux sur tickets de métro, des tableaux ludiques et bavards. Pour en savoir plus, voici l’ article du blog qui y est consacré.
Le blog raconte le Salon d’autome et plein d’ autres expositions
Ce blog est la manière de présenter mon travail et faire partager les expositions que j’ai aimées. Le blog compte 273 articles et existe depuis décembre 2013.
Je vous remercie pour votre soutien au fil de ces années.
L’exposition Drawing Now pour cette nouvelle edition, la 17 ème, a été un grand succès avec plus de 20 000 visiteurs au Carreau du Temple et une sélection soigneusement choisie de plus de 70 galeries. Drawing now est la première foire d’art contemporain en Europe exclusivement consacrée au dessin, elle réunit une sélection de galeries internationales et offre aux visiteurs un panorame riche et diversifié du dessin artistique contemporain.
Voici un aperçu de ce qui a retenu mon attention – travail photo avec collages, dessins, peintures – dessins avec texte et brin d’humour -dessins composés de manière puzzle- la video de Inci Eviner- dessins avec collage et multi matériaux…
J’aime ce salon qui permet de découvrir les tendances actuelles, de nouvelles galeries, et de nombreux artistes . Cesalon me conforte dans mes axes et recherches – le mélange y est bien présent !
Batrhelemy Toguo -Jann Voss – Marc DesgrandchampsRoger Ballen
Visions chamaniques au Quai Branly
L’exposition “Visions chamaniques” au musée du Quai Branly propose une plongée dans les pratiques chamaniques à travers le monde, explorant les rituels, les objets sacrés et les croyances qui façonnent ces traditions ancestrales. À travers une sélection d’artefacts uniques, d’œuvres d’art et de documents visuels, les visiteurs sont invités à découvrir la richesse et la diversité des rituels chamaniques, ainsi que leur rôle dans la connexion entre les humains, la nature et le monde spirituel. Cette exposition offre un regard enrichissant sur le chamanisme et son influence sur les sociétés du passé et du présent.
Une exposition présentée par Chrismali et Sigrine Genest à la Mairie du 20 ièm du 24/1/24 au 10/2/24
le ticket s’efface, reste sa trace S Genest -ChrismaliChrismali – S GenestS Genest ChrismaliS genest- Chrismali
L’exposition
Le ticket de métro disparaît. Pour autant, il reste un objet de mémoire et un symbole de la vie de Paris . Sigrine Genest et Chrismali, deux artistes dont la collaboration s’est développée au sein des Artistes de Ménilmontant travaillent sur le ticket de métro et vous proposent l’ exposition » le ticket s’éfface, reste sa trace ».
Quatre volets sont abordés; Rébus de vie, usure, perte de repères, effacement.
Rébus de vie
Le ticket conte la vie sous forme de rébus ; amalgames de personnages, végétations, paysages, écritures. Les dessins et peintures sont traités de manière graphique, figurative, stylisée, abstraite. Ils abordent les sujets de l’accumulation de l’écriture, du rythme, des foules. (Chrismali)
Usure
L’histoire du ticket est évoquée à partir des couleurs adoptées au fil du temps. Le croisement de ces couleurs produit par superposition, un nuancier. Vient ensuite la notion d’appropriation du ticket. Un même ticket est plié, trituré et imprimé jusqu’à disparition. (Sigrine Genest)
Perte de repères
Face à la disparition prochaine du ticket, les repères se perdent. Où est il ? Sur une carte, un téléphone, ou petit carton de 3×7 cm dans une poche. Le ticket présenté devient carré, plus grand, plus petit, il s’obscurcit. Reste son rythme qui persiste en traces d’écritures, de couleurs plus ou moins visibles. (Chrismali)
Effacement
Le dernier volet traite de la disparition du ticket et de la trace qu’il laisse, tant il aura marqué plus d’un siècle de vie parisienne. Le ticket, déchiqueté ou jeté au sol, laisse son empreinte. Il ne disparait jamais complètement des mémoires. (Sigrine Genest)
Le travail des 2 artistes
Les deux artistes travaillent sur des principes graphiques d’accumulation, d’effacement, de transformation.
Chrismali – le ticket s’efface, reste sa traceSigrine Genest -le ticket s’efface, reste sa trace
Elles manipulent les tickets de métro, les recouvrent, graffitent, impriment…
Chrismali et Sigrine Genest ont 2 approches opposées et complémentaires.
L’une travaille directement sur le ticket, le « graffitie », le colorise (Chrismali), l’autre utilise des empreintes de ticket et des formes créées représentant le ticket (Sigrine Genest).
Chrismali emplit le ticket de signes et couleurs jusqu’à le faire disparaitre tandis que Sigrine Genest élimine progressivement toute couleur.
Chrismali transforme le ticket carton en œuvre d’art miniature, en le multipliant, il devient tableaux, volumes, installations, livres. le ticket de métro est l’un de ses medias depuis 9 ans. Pour en savoir plus .
Le travail de Sigrine Genest sur l’éffacement du ticket s’inscrit dans une démarche initiée par l’atelier Vicky Fischer au Ateliers Beaux-Arts de la Villede Paris (ABA). Elle présente ici les séries développées.
Chrismali, plasticienne, prélève dans la nature et le quotidien des petits bouts avec lesquels elle compose pour conter des histoires. Elle aborde de nombreux champs plastiques sans limites (sculptures techniques mixtes, taille directe, dessins, peintures, gravure). Elle mélange tout: «La mixité, c’est la vie».Le ticket de métro compose, se mêle à nombreuses de ses créations.
Pour la poésie libre – le ticket poète- de Chrismali sur le ticket c’est ici
Sigrine Genest, diplomée ENSAD spécialité gravure et dessinatrice, utilise le dessin et la grande diversité des techniques de l’estampe pour construire des séries d’images puisant dans le répertoire des lieux communs contemporains. Son intervention sur le ticket de métro n’est qu’un volet de son travail. Pour en savoir plus .
MAIRIE DU 20 – Horaires et accès à l’exposition
Mairie du 20 , 6 Place Gambetta 75020
Du mercredi 24 janvier au samedi 10 février 📍 Salon d’honneur, mairie du 20e, 6 place Gambetta 🕒 Du lundi au vendredi : 8h30 à 17h, le jeudi de 12h à 19h30 et le samedi de 9h à 12h30
Chrismali sera présente les après-midi de 15h30 à 17h et le jeudi 1er février jusqu’à 19h30.
Le 2 décembre 2021, lors de la 76e session de l’Assemblée générale des Nations-Unies, il a été décidé que l’année 2022 serait « l’Année Internationale des sciences fondamentales pour le développement durable ».
A l’heure où les équilibres se fissurent, les inégalités s’accroissent, les certitudes passées tombent, il est bon de savoir que des équipes de chercheurs de nombreux pays vont collaborer ensemble pour envisager toutes les solutions de vie possible à partir de modélisations scientifiques et de données connues. Cette terminologie » sciences fondamentales pour le développement durable » inclut tout aussi bien les domaines attendus de la physique, chimie, santé, climatologie que les sciences sociales et bien d’autres.
« L’ONU considère que les applications des sciences fondamentales sont essentielles aux progrès de la médecine, de l’industrie, de l’agriculture, des ressources en eau, de la planification de l’énergie, de l’environnement, des communications et de la culture. « Ces sciences et les technologies émergentes pourvoient aux besoins de l’humanité, en donnant accès à l’information et en améliorant la santé et le bien-être des personnes, des communautés et des sociétés », souligne-t-elle.
L’Année internationale des sciences fondamentales pour le développement durable braquera ainsi les projecteurs sur les liens entre les sciences fondamentales et les Objectifs de développement durable. Elle sera un moment clé de mobilisation pour convaincre de leur importance les responsables économiques et politiques, ainsi que le grand public, explique le site dédié. »
En 2022, je souhaite mettre en avant le bien commun, les oeuvres communes, le collectif.
Pour démarrer l’année et se retrouver, l’exposition collective de Charenton – le salon Art et Liberté – du 20/01 au 12/02.
Depuis la rentrée scolaire 2021, j’ai ressenti le besoin de me nourrir d’art, d’un certain type d’art – celui qui montre que l’art est multiple, que l’art est dans le regard , le faire et les intentions, que l’art est message et que l’art est chemin.
Je vous présente ci-après 2 grands artistes vivants inspirants qui travaillent sur la notion de mémoire et qui interrogent sur le sens de la vie.
2 Grands artistes Kentridge et Kiefer
William Kentdridge
Exposition récente William Kentridge – Finally Memory Yields- galerie Marian Goodman – Paris
L’exposition est centrée sur le mythe de la Sibylle de Cumes qui écrivait votre destin sur une feuille de chêne et plaçait la feuille à l’entrée de sa grotte, formant peu à peu un amas de feuilles. Mais, alors que vous allier récupérer la feuille vous correspondant, un vent se mettait à souffler et faisait tourbillonner les feuilles, de sorte que vous ne saviez jamais si vous obteniez votre destin ou celui d’un d’autres .
La vidéo « Sibyl » a été conçu pour son opéra de chambre « waiting for the sibyl »:
« Les phrases qui apparaissent dans l’opéra de chambre proviennent d’un large éventail de sources : de proverbes, de phrases trouvées dans des cahiers, de vers de poètes de Finlande, d’Israël, d’Afrique du Sud, d’Afrique du Nord, de différents endroits d’Amérique du Sud et de par le monde – qui sont soit utilisées telles quelles, soit adaptées ou modifiées, mais qui répondent en quelque sorte à la question : « Dans quel but ? »
Les pages tournantes de Sibyl. font allusion au mythe de la sibylle de Cumes,.On souhaite éviter son destin, mais on sait qu’on va droit vers lui. Il plane ici l’idée que notre Sibylle contemporaine est en réalité l’algorithme, qui connaît nos destins mieux que nous-mêmes. »
L’artiste
William Kentridge est né en 1955 à Johannesbourg en Afrique du Sud où il vit et travaille toujours. Son œuvre est pluridisciplinaire; il travaille avec le dessin, le film, la gravure, la performance, la sculpture et la peinture.
Il a également réalisé de nombreuses mises en scènes d’opéras et de productions théâtrales. Il a participé à un nombre significatif de manifestations et biennales internationales comme la Documenta X (I997), XI(2002), et XIII et la Biennale de Venise (1993, I999 et 2005). Kentridge a reçu de nombreux prix et distinction comme le Praemium Imperiale Award de peinture (2019). En septembre 202I il est nommé membre étranger associé à l’Académie des Beaux-Arts en France.
Kiefer c’est l’artiste du gigantisme, un artiste à déchiffrer car ces messages sont nombreux. je le suis depuis des années. Tout comme Kentdrige, il m’inspire et je l’admire. Je vais vous présenter sa dernière exposition au grand palais éphémère ,. espace monumental de 10 000m2 conçu par l’architecte Jean Michel Wilmotte. C’est dans un univers de type grand hangar pour avions que Kiefer a imaginé son exposition » Hommage à Paul Celan » . C’est là qu’il a posé ses toiles, installations et qu’il a simulé une partie de son atelier en nous exposant une partie des composants de ses œuvres.
Quand on pénètre dans le Grand Palais éphémère, on est stoppé par l’obscurité du lieu. Un temps d’adaptation est nécessaire pour percevoir les couleurs, reliefs des œuvres. Celles-ci comportent majoritairement des textes en allemand. C’est une très grande exposition Kiefer, une taille à sa hauteur.
Dans les extraits de son journal rédigés pendant la préparation de l’exposition au Grand Palais Éphémère, Anselm Kiefer écrit :
« Celanne se contente pas de contempler le néant, il l’a expérimenté́, vécu, traversé…La langue dePaul Celanvient de si loin, d’un autre monde auquel nous n’avons pas encore été confrontés, elle nous parvient comme celle d’un extraterrestre. Nous avons du mal à la comprendre. Nous en saisissons ça et là un fragment. Nous nous y accrochons sans jamais pouvoir cerner l’ensemble. J’ai humblement essayé, pendant soixante ans. Désormais, j’écris cette langue sur des toiles, une entreprise à laquelle on s’adonne comme à un rite.
Je dois avouer que j’ai été déçue de ne pas comprendre tous ses textes écrits, cet hommage! On ressent une inspiration forte , une obsession ! il y a bien sûr, ce qui se ressent, pour moi c’était la violence, l’explosion, le besoin de rappeler l’histoire. La muséographie ne rend pas le propos de l’exposition compréhensible; seuls les titres allemands des œuvres étaient traduits.
Si vous voyez cette exposition, partagez moi votre sentiment!
Je vais prochainement aller à Pantin chez Taddaeus Ropac voir son exposition qui démarre.
Pour retrouver ses précédentes expositions voici des liens;
Léon Spilliaert (1881-1946) Portrait de l’artiste par lui-même1903. Crayon graphite, encre noire et encre brune à la plume et au pinceau H. 27,4 ; L. 27,2 cm
Léon Spilliaert, peintre belge née en 1881 à Ostende, un bout du monde.
Homme d’une grande sensibilité, mélancolique, grand nerveux, lecteur de Nietzsche, écrivant des poèmes qu’il jette ensuite, il se dit né dans un monde étrange.
Ma deuxième exposition personnelle s’est déroulée à la galerie Espace Le Marais, petite galerie bleue située à la croisée de grands chemins, Musée Picasso, Musée Cognac Jay, Institut Finlandais, Le square Parc Royal.
Toulouse-Lautrec est un peintre, dessinateur, lithographe, caricaturiste ,affichiste et illustrateur français.
Il est le peintre de la vitalité et de l’humanité. Il s’est attaché à montrer le réel dans toute sa force avec des techniques picturales allant à l’essentiel.
La bibliothèque Forney présente la première grande exposition consacrée à Jacqueline Duhême » une vie en couleurs ».
Jacqueline Duhême est une illustratrice émérite de la littérature pour enfants. Elle a illustré plus de 80 livres.
Femme de caractère, passionnée, elle a traversé le 20 èm siècle et y a laissé son empreinte et elle continue aujourd’hui.
Jacqueline Duhême est née à Versailles en 1927. Partie de rien, femme aux multiples talents, à partir de sa rencontre avec Paul Eluard, son chemin n’a cessé d’aller à la rencontre des grandes figures de son époques artistes, personnalités publiques…
Elle a été l’ imagiaire des poètes comme la surnommait Paul
Eluard et a travaillé avec Jacques
Prévert, Paul éluard, Raymond Queneau, Claude Roy, Miguel Angel Asturias, Jules
Supervielle, Francis Jammes, Blaise Cendrars, Anne Philippe, Maurice Druon,
Gilles Deleuze, Elisabeth Badinter .
Elle a su les convaincre d’écrire des textes pour elle
qu’elle mettait en image.
Par son tempérament enjoué, son amour de la vie, son talent, elle est entrée dans l’intimité de nombreux de ceux qu’elle côtoyait.
Elle a été aide d’atelier chez Henri Matisse et logeait chez
eux.
Par sa rencontre avec la comtesse Volpi, elle fit un séjour à Venise et eut l’opportunité de mener une vie de peintre.
Elle a cependant préféré devenir reporter dessinatrice pour le couple Lazareff. Elle travailla pour le magazine Elle de 1952 à 1971 en France et à l’étranger. Elle fut journaliste et réalisa de nombreux reportages en image. Elle voyagea avec les Kennedy, avec Charles de Gaulle, avec le pape Paul VI. Robert Badinter lui demanda d’imager un livre sur les droits de l’homme en 2005…
En tant qu’auteur et illustratrice, elle a réalisé un dessin animé en 1956, avec H. Gruel.
Elle a également créer des cartons pour tapisserie et entre 1967 et 1981 , elle est peintre cartonnier pour les tapisseries d’Aubusson.
Plusieurs prix lui ont été décernés, dont L’Octogone
d’honneur pour l’ensemble de son œuvre en 1998 et le titre de commandeur
de l ’ordre des Arts et des Lettres en 2016.